• Même si ce ne sont plus "mes" 2 ans que je raconte à travers ce court billet, je me devais de vous faire part de cette initiative de nos Master 1 !

    Ils ont concocté un projet d'émission de radio hebdomadaire d'une heure. Ca s'appelle Sur le Vif. Chaque semaine, un groupe différent, un thème différent. Des chroniques rythmées, des ambiances sonores terribles, des interviews, de la bonne musique ... Bref, le cocktail ne peut que se révéler explosif ! Et avec le peu d'expérience qu'ils ont tous en radio, le résultat est très très satisfaisant !!

    Je vous conseille de les écouter, il y a déjà eu 2 émissions.

    Ils ont même confectionné un joli wordpress dont voilà l'adresse : http://ijbasurlevif.wordpress.com/

    Longue vie à Sur le Vif :)


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  • ... Et moi j'ai plus le temps de voir le jour !! Au propre comme au figuré d'ailleurs ! Allez, j'exagère un peu, mais il faut dire que les sessions s'enchaînent de semaine en semaine et le rythme s'accélère. Je voulais écrire cet article plus tôt, puis j'ai voulu lire "Chartrons Saint-Martial Le Mag" avant ! Le fameux Mag de nos spé presse écrite. Eh bien commençons tout de suite par ça !!

    I) Le Mag

    Pas facile de réaliser un Mag sur un quartier, difficile de trouver un fil conducteur, une trame qui structure tous les articles. Les Chartrons, je l'ai déjà dit, c'est un quartier que j'aime beaucoup mais que je connais totalement. Le Mag m'a permis d'y voir un peu plus clair et d'essayer de toucher le quartier dans toutes ses composantes. Le seul problème, c'est qu'il est vraiment réservé aux gens du quartier. Par exemple, jamais de carte pour situer où tel endroit se situe dans le quartier. On a beau me parler de rues, de repères visuels ou autre, y'a des trucs j'arrive toujours pas à savoir où c'est. Bon, je chipote peut-être. 

    Dans l'ensemble, j'ai appris beaucoup de choses sur l'histoire et la culture du quartier. L'ennui vient peut-être du format tabloïd et des articles qui ne sont pas forcément des articles de tabloïds ... Je crois que c'est en réflexion d'ailleurs pour l'an prochain ... 

    II) Matinale du Mouv en direct

    Jeudi 28 novembre (oui j'ai pris du retard pour relater ça), Le Mouv délocalisait son antenne à Bordeaux. 3 émissions étaient prévues dont La Matinale (7h-9h). A cette occasion, on avait rencontré en tout début de session radio - avant même le début des cours - une journaliste de la rédaction du Mouv venue nous briefer sur tout ça. Des sujets avaient été proposés, acceptés et devaient être tournés pendant les 3 jours qui précédaient la Matinale de jeudi.

    A cette occasion, 3 étudiantes de Sciences Po nous ont rejoint, portant notre "rédaction" à 9 personnes. Et tout le monde s'en est bien sorti au niveau du timing. On a rencontré toute l'équipe de la Matinale du Mouv, des gens super sympa. Vraiment, on nous a laissé toute la liberté qu'on voulait au niveau des formats, des angles, des lancements ... On était très bien encadré mais sans nous brider. 

    Le résultat, il est tout simplement ici ==> http://www.lemouv.fr/player/reecouter?play=110742

    Une super journée, un souvenir magnifique. Probablement mon meilleur moment à l'IJBA. Parler en direct derrière un micro, dans une matinale, avec des gens qu'on apprécie et un sujet qu'on adore, vraiment ... y'a pas mieux.

     

    J'aurai pu parler aussi de notre session avec une journaliste de France Info où on a progressé à vitesse grand V, mais je vais attendre de finir les 2 dernières sessions pour faire un gros debrief des premiers mois spé par spé.
    A dans 2 semaines donc !


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  • Déjà 2 semaines qu'on est intégrés à notre spécialité .. Le temps passe vite. Très vite. Les journées sont longues aussi. Pour toutes les spés. Je vais faire un point rapide sur chacune des spés.

    I) Presse écrite

    Je commence par nos amis de presse écrite. En l'absence du blog de quartier cette année, les PE se sont concentrés sur le Mag de quartier. Auparavant, la promo entière réalisait un blog multimédia sur un quartier bordelais. Blog ensuite décliné en Mag par les spé écrite. Cette année, pas de blog - dommage - mais uniquement un Mag. Ca permet aussi à toutes les spés de commencer plus tôt dans l'année et donc de finir plus tôt.

    Ils sont donc en plein dedans en ce moment et le bouclage est fixé à la semaine prochaine. Le quartier étudié cette année est celui des Chartrons. Je sais pas si c'est très parlant pour tout le monde. J'imagine que non. Je vais donc décrire le quartier en 2 mots - avec mes mots, donc ce n'est pas la vérité du terrain !
    C'est un des quartiers que je préfère dans Bordeaux. Situé juste après la grande place des Quinconces, les Chartrons est l'un des quartiers qui a pris le plus de valeur immobilière en 10 ans. On peut s'y balader le long de la Garonne, sur les quais aménagés, on peut flâner près des Hangars, devenus centres commerciaux. On peut s'y aventurer en intérieur, suivre les petites rues calmes, se perdre dans le dédale des ruelles ... J'aime le calme intérieur qui contraste avec le fourmillement sur les quais. Bon, je m'emporte un peu ! Pour l'instant, je n'ai que quelques infos sur le Mag. Mais de ce que j'entends, y'a de très bons sujets. J'ai hâte de voir le résultat. Après le temps du terrain, vient celui de l'écriture des papiers et la mise en page. Bon courage, car la semaine du bouclage est toujours la plus stressante ! Mais je sais qu'ils vont nous sortir un truc super !

    II) TV

    Je continue par les spés TV. Eux, sont séparés en 2 groupes. Une partie de la promo a commencé à bosser pour France 3 sur les élections municipales. L'idée est de suivre plusieurs familles dans leur quotidien jusqu'à la municipale de mars 2014.
    Mais vu que les images parlent mieux que mes mots, je vais vous laisser regarder ce petit reportage réalisé par nos spés TV et diffusé la semaine dernière.
    http://aquitaine.france3.fr/emissions/jt-1213-aquitaine
    => Il faut cliquer sur l'édition du 6 novembre (à partir de 9'30 min)

    L'autre partie des étudiants a bossé sur le maniement des nouvelles caméras et l'écriture du commentaire TV.

    III) Radio

    Bon, c'est un peu plus facile pour moi de parler de ce que j'ai vécu pendant 2 semaines ! 2 constats préalables : bosser à 6 est un réél bonheur. Tant pour les intervenants que pour nous. On a vraiment beaucoup de chance à ce niveau là. Ensuite, on va en voir de toutes les couleurs pendant 4-5 mois. 

    Je m'explique. La 1e semaine était consacrée au maniement des Nagra et logiciels de montage. Une remise à niveau pas inutile du tout. Ca nous a permis de nous remettre en ordre de marche, de reprendre notre course à l'info, de sortir de la léthargie du début d'année et de devenir journalistes radio, pour de vrai. Au programme donc, journaux de 4 min en début de semaine et 8 min pour finir le vendredi. Niveau rythme on a été servis !
    L'intervenant était un technicien de France Bleu Gironde, donc on savait qu'il était là pour corriger nos reportages sur la forme (montage, prise de son, maitrise de la console ...) et pas trop sur le fond. On en a donc profité pour s'amuser un peu dans les contenus. 
    Chose qu'on n'a pas trop pu refaire cette semaine. Les intervenants sont désormais des journalistes radio, là pour nous faire bosser l'écriture, la voix, les angles de nos reportages. Autant dire qu'on part de 0. Ou presque. 

    Ce sont des sessions super formatrices. On en prend plein la tête : critiques constructives, conseils ... mais on progresse à vue d'oeil. Enfin, à l'oreille plutôt. Nos progrès s'entendent et sont prometteurs en si peu de temps. J'ai tellement hâte de voir la suite des intervenants ... On ne laisse rien passer pour faire de nous des journalistes pointilleux, sérieux, qui ne laissent rien au hasard. C'est fondamental.

    Semaine prochaine, on continue notre session avec France Bleu. Levers de plus en plus matinaux, temps libre passé à feuilleter la presse, écouter toutes les radios possibles, déjeuners sur le pouce, yeux constamment sur l'horloge du studio et couchers tardifs. Voilà notre quotidien. Le M1 est définitivement fini et on avance vers notre avenir pro ... Dans moins de 6 mois !


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  • Bon, je me retrouve à faire un article pour un mois de cours alors que je voulais traiter les ce mois en deux articles distincts. Tant pis, encore une fois j'ai été pris par le temps. Je vais donc rentrer dans le vif du sujet, sur ce mois séparé en 2 phases : 15 jours de cours communs et 15 jours de "Fabrique de l'Info".

    I) Techniques d'enquête et d'interview

    Je tenais absolument à écrire quelques lignes sur ces deux sessions que j'ai trouvées non seulement intéressantes mais fondamentales dans l'exercice de notre futur métier. Deux cours d'une semaine chacun à apprendre comment rédiger un synopsis convaincant pour le proposer à un journal et comment (bien) interviewer quelqu'un. 

    Alors que j'étais plutôt sceptique sur la seconde session, celle de l'interview, j'ai vite été convaincu. On nous a donné plein de bons conseils et de pièges à éviter en interview. Les exercices de mise en situation étaient très révélateurs : deux personnes face à la classe, un intervieweur et un interviewé sur un thème choisi par ce dernier et découvert par l'intervieweur quelques secondes avant le début de l'entretien. Le but était de réaliser un entretien non directif, où l'interviewé a une grande liberté et où les questions sont le plus ouvertes possible. Comment gérer les blancs, comment bien écouter la personne en face de soi, comment la laisser parler sans la couper, comment la mettre en confiance ... Tout autant de questions auxquelles cette session a tenté de donner des réponses. J'ai trouvé dommage que ce cours arrive en début de deuxième année, après 2 mois de stage où on a fait des dizaines et des dizaines d'interview. C'est un exercice très dur d'ailleurs dans lequel j'ai parfois du mal à me sentir à l'aise. Je pense vraiment que cette séance est très importante pour mener un bon entretien. Peut-être devrait-il aussi y avoir un cours en M1 sur cela ? Ca serait pas un mal je pense. 

    Le cours de technique d'enquête a vraiment servi à nous apprendre comment rédiger un synopsis d'enquête afin de le vendre comme une pige à un journal. C'est vraiment fondamental car le journalisme free lance peut être une option de carrière pour certains d'entre nous. De plus, présenter un synopsis est quelque chose qui est souvent demandé (il est même demandé lors du concours d'entrée, on voit bien la logique !) et c'est un exercice qu'on réussit rarement. Les conseils prodigués nous aideront pas mal pour plus tard. L'exercice adossé à la session était de réaliser un synopsis et de le présenter au prof. Intéressant car ça nous a permis de remettre un pied dans le style "enquête", un style journalistique qu'on utilise assez peu, surtout en PQR (à tort j'estime). Et cette session ne fut pas inutile pour les semaines qui ont suivies.

    II) Tribunes de la Presse et Fabrique de l'Info

    La transition est toute trouvée pour vous parler de nos deux semaines suivantes rythmées par un projet que l'IJBA réalise depuis 5 ans déjà : La Fabrique de l'Info. Il s'agit d'un travail de critique des médias sur un thème prédéfini. Cette année, le thème s'est trouvé de lui-même puisque se tenait la 3ème édition des Tribunes de la Presse, à côté de l'IJBA. Cette manifestation de 3 jours avait pour thème "Censure, auto-censure et manipulation", thème qui fut transposé à la Fabrique de l'Info. Des journalistes français et étrangers se sont donc retrouvé à Bordeaux pour 3 jours de conférence, le tout parrainé par Le Courrier International, pourtant en grève après un plan social. 

    La Fabrique de l'Info s'est donc déroulé en deux temps : la première semaine, nous avons réalisé des sujets dits "chauds" avec pour base les conférences et ateliers organisés dans le cadre des Tribunes de la Presse. La seconde semaine fut consacrée à un travail d'enquête avec pour thème "Censure, auto-censure et manipulation". La session technique d'enquête nous a donc bien servi sur cette semaine. 

    On peut dire qu'on n'a pas chômé sur ces 2 semaines. Entre le site à créer, les réseaux sociaux à animer, les conférences et ateliers à couvrir pour les sujets chauds ... Il restait plus beaucoup de temps pour travailler une enquête en profondeur. Heureusement, dans la première semaine, nous avons été épaulés par les M1 qui ont eu la charge de la couverture photo de l'événement, ainsi que la réalisation de vidéos. Un bon travail de découverte du matos pour eux, un travail en situation et avec une production au bout vaut mieux que tous les exercices enfermés dans une salle de classe.

    Le résultat final de la Fabrique de l'Info est plus que satisfaisant. Les articles publiés retracent bien les 3 jours de débat et ont donné lieu à des enquêtes très intéressantes. Dommage qu'on ne nous ait pas laissé plus de temps ou de liberté de ton à certains moments dans les enquêtes. J'en dis pas plus et je vous invite à visiter sans plus attendre le site de la Fabrique ==> www.lafabriquedelinfo.fr

    (En haut, on retrouve les enquêtes menées en 2ème semaine. En bas, ce sont les sujets couverts lors des Tribunes de la Presse.) Bonne lecture.

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    Quant à nous, on va entamer les spés dès lundi ! Ca y est ! On se sépare en 3 groupes : TV, radio, presse écrite. Je ferai un point d'ici quelques jours pour vous dire un peu comment ça se passe dans chaque spé. Je peux déjà dire que TV et presse écrite ont déjà pas mal de boulot à venir rapidement ! A suivre !


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  • Comme prévu, j'ai attendu deux petites semaines avant d'écrire ce premier article de l'année. Déjà pour reprendre un peu mes marques à l'école que j'avais quittée en mai dernier juste au retour de Birmingham et pour voir un peu ce qu'on allait faire cette année.

    Après une réunion de rentrée où François Simon et l'équipe pédagogique ont passé en revue l'ensemble du programme de l'année, chaque spécialité a eu droit à sa petite réunion de pré-rentrée. Cette année, comme je l'ai déjà indiqué, chaque étudiant devra choisir une spécialité dans un support sur lequel il travaillera durant toute l'année. Les choix sont donc la presse écrite, la radio et la télévision.
    Chaque spécialité a ses propres caractéristiques et ses propres projets sur lesquels il faudra travailler : les presse écrite vont effectuer deux travaux phares de l'école, à savoir le magazine de quartier et Viso. Il s'agit de deux productions écrites, l'une sur un quartier bordelais (le mag de quartier portera cette année sur le quartier des Chartrons, mais on y reviendra) et l'autre à l'étranger (cette année, Viso sera délocalisé au Portugal). Les spé TV pourront, eux, collaborer à un magazine long intitulé "Avoir 20 ans en temps de crise" (là aussi on y reviendra en temps voulu). Les spé radio, pour leur part, auront la chance de collaborer avec les équipes de France Bleu Gironde chaque jour pendant les elections municipales de 2014. 

    Je ne poursuis pas plus mon propos en ce qui concerne les spécialités pour 2 raisons. La première est que celles-ci ne vont commencer qu'au début du mois prochain, la seconde est qu'en ayant choisi une spécialité parmi les 3 (radio), je ne serai pas légitime pour parler des autres. Je laisserai donc tribune ouverte à ceux qui voudront bien le faire. Bien evidemment, j'essaierai autant que faire se peut d'intégrer le quotidien des 3 spés dans ce blog. La tâche me semble d'ores et déjà ardue quand on voit nos emplois du temps. Il faudra combiner avec nos week end de travail à Sud-Ouest, la réalisation de nos mémoires et la préparation des concours de sortie organisés par certains médias. Mais là encore, on aura bien le temps de revenir sur tous ces points.

    Après un préambule bien plus long que prévu, j'entame sur le bilan des stages et un point de vue un peu plus long sur mon stage.

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    Comme je l'avais espéré, l'IJBA avait organisé un grand debrief (en deux groupes) des différents stages effectués cet été. Plus particulièrement sur le stage long en Presse Quotidienne Régionale (PQR). J'ai été agréablement surpris de constater que la très grande majorité des stages s'étaient bien déroulé. Je m'attendais à plus d'accrocs, tant au niveau de l'adaptation à un territoire, qu'au niveau du type de presse pour lequel on travaille. Il faut bien le dire, la PQR ne fait pas (plus ?) rêver grand monde, notamment dans notre promo.

    Cet état d'esprit a-t-il changé avec le stage ? En majeure partie, non. Pour s'attarder sur mon cas personnel, je dirais que oui. Je ne suis pas entré avec une très belle vision de la PQR et j'en suis ressorti avec l'intime conviction qu'un changement était possible et que toutes les portes nous étaient ouvertes pour le mettre en route. Je vous épargnerai à nouveau le couplet de "la presse est en crise et doit se réinventer" pour me concentrer sur des faits.

    Mon stage d'été s'est déroulé dans une petite locale du Progrès dans la Loire (42). J'ai l'habitude de lire ce quotidien, notamment le dimanche, jour où mes parents l'achètent traditionnellement (une pratique restée courante au vu des chiffres de vente le dimanche). Avec le changement de format (réduction de la taille), le journal a aussi connu un changement éditorial pour plus de clarté et de cohérence. Avant d'y travailler, je n'avais jamais vraiment compris l'articulation de chaque page dans le journal, n'avais jamais prêté attention à tous les articles, les détails ... En bossant 2 mois pour un quotidien, on se l'approprie mieux ... au risque de ne plus voir ce qu'avant on trouvait incohérent en tant que lecteur. Au risque donc de ne plus se demander "que veut le lecteur ?" mais uniquement "comment je mets ça pour que ça m'arrange ?"

    J'ai trouvé ce stage très formateur car il nous met vraiment dans la peau de journalistes titulaires avec les avantages et les contraintes : trouver des idées de sujet, les traiter dans un temps limité, les "vendre" lors d'une conférence de rédaction, les défendre ... On apprend aussi les relations de travail entre journalistes, avec sa hiérarchie ... Ces choses là ne peuvent malheureusement pas s'apprendre à l'école.

    Alors que je ne me voyais pas du tout travailler dans la PQR après l'IJBA, je me suis posé la question après mon stage. Pourquoi pas un jour intégrer un titre de PQR et tenter de faire quelque chose de bien ? Car cette information ultralocale est celle qui est préférée par tout lecteur. La loi de proximité de l'information commande ce réflexe. On est intéressés par ce qui se passe près de chez nous. Le problème est que les journalistes et correspondants locaux se sont enfermés dans un genre d'habitude, de routine, qui paralyse un peu la PQR. Avec l'intention de ne pas bousculer un lectorat établi (et vieillissant disons-le), la PQR n'intéresse plus grand monde. Et cela est visible dans toute la France. Les chiffres de vente en témoignent bien. Les thèmes traités ne changent pas, les angles non plus ... Bref, peut-être qu'une vague de nouveaux journalistes volontaires est nécessaire pour apporter un oeil nouveau sur la PQR et changera cette situation. Il m'est impossible de l'affirmer. Mais je trouve qu'une telle évolution serait souhaitable. Au risque de voir la PQR péricliter et disparaître.

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    J'ai fait bien plus long que ce que j'espérais. Je voulais également parler de mes cours de technique d'interview et d'enquête. Cela donnera lieu à un autre article en milieu de semaine prochaine car je ne veux pas faire un article trop long qui serait illisble (et barbant avouons-le !)


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